Avec ces attaques répétées contre le Prophète Muhammad(ﷺ), il est nécessaire de se rappeler que l’homme est l’ennemi de ce qu’il ne connaît pas ! Et que la majorité de ceux qui attaquent le Prophète (Paix sur lui) ne connaissent rien de sa vie ni de sa noblesse de caractère.
Il est donc essentiel de raconter l’histoire du prophète et de parler de lui et de ses valeurs autour de vous pour que le brouillard de l’ignorance se lève et que le monde reconnaisse enfin son prophète.
Cet article comprend des témoignages de personnes ayant vécu à proximité du prophète Muhammad(ﷺ) et quelques récits d’intellectuels occidentaux qui ont étudié sa vie.
À cet égard, il convient de noter que le prophète Muhammad(ﷺ) n’a eu besoin de personne pour témoigner en sa faveur ; c’est Allah lui-même qui a témoigné en sa faveur :
Témoignages contemporains sur le prophète Muhammad(ﷺ)
Témoignages de ses compagnons
Témoignages des ennemis contemporains du prophète Muhammad(ﷺ)
Les Mecquois l’appelaient « Al Amin ».
Ayant observé son honnêteté dès l’enfance, les Mecquois lui attribuèrent le titre : « Al-Amin » (le digne de confiance) et le choisirent pour lui confier leurs biens précieux en guise de dépôt. Lorsqu’il quitta la Mecque pour s’installer à Médine, il chargea Ali B. Abi Taleb de restituer les dépôts à leurs propriétaires, dont certains faisaient partie de ceux qui complotaient pour l’assassiner. Imaginez la scène : ils complotaient pour l’assassiner, alors qu’il était la seule personne en qui ils avaient confiance pour garder leurs biens les plus précieux.
Lorsqu’il rassembla les habitants de La Mecque pour leur annoncer le message, il leur posa la question suivante : « Que pensez-vous si je vous dis que l’ennemi est tapi derrière cette colline pour nous attaquer ? » La pure vérité, répondirent-ils, car nous ne t’avons jamais entendu proférer un mensonge. »
Abu Jahl, son ennemi acharné, témoigna de la véracité du prophète.
Les Mecquois qui l’avaient combattu n’avaient jamais mis en doute son intégrité et sa bonne conduite. Abu Jahl, son ennemi le plus acharné, témoigna à plusieurs reprises que Muhammad(ﷺ) ne pouvait pas être un menteur :
À l’occasion de la bataille de Badr, Akhnas bin Shariq demanda en privé à Abu Jahl : « Il n’y a pas de troisième personne ici en dehors de nous deux. Dis-moi la vérité, si tu considères Muhammad comme un homme véridique ou comme un menteur. » Il répondit : « Par Dieu, Muhammad est un homme véridique et n’a jamais menti de sa vie, mais si les Bani Qusayy, qui ont déjà le privilège d’être les porteurs du drapeau national, les fournisseurs d’eau aux pèlerins et les gardiens des clés de la Ka bah, devaient également être reconnus comme les bénéficiaires de la prophétie, que resterait-il alors pour le reste des Quraish ? »
Hedayat Al-Hayari, p. 50, 51
Empereur Flavius Heraclius Augustus : Je savais qu’un prophète allait venir, mais je n’imaginais pas qu’il viendrait de toi !
Lorsque le prophète Muhammad(ﷺ) (PBUH) a envoyé sa lettre d’appel à l’islam à Héraclius, et que ce dernier a rencontré Abu Sufiyan et a parlé avec lui du prophète Muhammad(ﷺ) (PBUH), Héraclius est parvenu à la conclusion suivante :
Je t’ai interrogé sur son statut familial parmi vous, et tu m’as dit qu’il est issu d’une famille noble parmi vous En vérité, tous les apôtres sont issus de la famille la plus noble parmi leur peuple. Je t’ai ensuite demandé si l’un de ses ancêtres avait été roi, et tu as nié cette affirmation. J’ai alors pensé que si l’un de ses ancêtres avait été roi, j’aurais dit qu’il (Muhammad) cherchait à régner sur le royaume de ses ancêtres. Je t’ai ensuite demandé, au sujet de ses partisans, s’il s’agissait de nobles ou de pauvres parmi les gens, et tu m’as répondu qu’il ne s’agissait que de pauvres (qui le suivent). En effet, tels sont les disciples des apôtres. Je t’ai ensuite demandé si tu l’avais déjà accusé de mentir avant de dire ce qu’il a dit, et tu as répondu par la négative. J’ai donc pris pour acquis qu’un homme qui ne mentait pas sur les autres ne pouvait jamais mentir sur Allah. Je vous ai ensuite demandé si quelqu’un de ses disciples avait renoncé à sa religion (l’islam) après l’avoir embrassée et en avoir été mécontent, et vous l’avez nié. Et telle est la foi lorsqu’elle se mêle à la gaieté des coeurs. Je t’ai ensuite demandé si ses adeptes étaient de plus en plus nombreux ou de moins en moins nombreux. Vous avez affirmé qu’ils augmentaient. C’est le chemin de la vraie foi jusqu’à ce qu’elle soit complète. Je vous ai ensuite demandé si vous aviez déjà combattu avec lui, et vous avez affirmé que vous aviez combattu avec lui et que la bataille entre vous et lui était indécise et que la victoire était partagée entre vous et lui à tour de rôle ; il vous infligeait des pertes et vous leur infligiez des pertes. Il en est de même pour les apôtres ; ils sont mis à l’épreuve et c’est à eux que revient la victoire finale. Je t’ai ensuite demandé s’il avait déjà trahi ; tu as affirmé qu’il n’avait jamais trahi. Je dois dire que les apôtres ne trahissent jamais. Je vous ai ensuite demandé si quelqu’un avait fait cette déclaration avant lui ; vous l’avez nié. J’ai alors pensé que si quelqu’un avait dit cette phrase avant lui, j’aurais dit qu’il n’était qu’un homme copiant des paroles dites avant lui. Abu Safyan a dit : « Héraclius m’a alors demandé : « Que vous ordonne-t-il de faire ? » J’ai répondu : « Il nous ordonne de faire la prière, de payer la zakat, d’entretenir de bonnes relations avec nos proches et d’être chastes ». Héraclius dit alors : « Si ce que tu as dit est vrai, c’est vraiment un prophète, et je savais qu’il (c’est-à-dire le Prophète (ﷺ)) allait apparaître, mais je n’ai jamais pensé qu’il serait parmi vous. Si j’étais sûr de pouvoir l’atteindre, je voudrais le rencontrer et si j’étais avec lui, je lui laverais les pieds ; et son royaume s’étendra (sûrement jusqu’à ce qui est sous mes pieds) ».
Flavius Heraclius Augustus ( Rapporté par Bukhari )
Témoignages d’auteurs occidentaux
Le prophète Muhammad(ﷺ) (que la paix soit sur lui) est sans doute le personnage qui a été le plus vilipendé en Occident depuis l’aube de l’islam, principalement par instruction de l’Église, qui voyait dans l’islam un ennemi éternel. C’est ainsi qu’une multitude de mensonges ont été élaborés autour du prophète Muhammad(ﷺ) (que la paix soit sur lui), ce qui n’a pas cessé jusqu’à aujourd’hui.
Depuis le siècle des Lumières, la liberté de pensée et l’accès à l’information ont permis à de nombreux auteurs occidentaux de s’intéresser à l’islam et à la vie du prophète Muhammad(ﷺ), et ceux qui ont été objectifs ont rendu justice au prophète Muhammad(ﷺ) (que la paix soit avec lui), voici quelques-uns de leurs commentaires.
Je rappelle à ce propos que les musulmans n’ont jamais eu besoin de cette reconnaissance de la part des auteurs occidentaux pour aimer et imiter leur prophète, il est cependant intéressant de citer ces commentaires dans le sens de » Et un témoin de sa famille a témoigné » (وشهد شاهد من أهلها).
Alphonse de Lamartine : Cet homme était-il un imposteur ? Nous ne le pensons pas après avoir étudié son histoire.
Alphonse de Lamartine, écrivant :
« Jamais homme ne s’est proposé, volontairement ou involontairement, un but plus sublime, puisque ce but était surhumain ; renverser les superstitions qui s’étaient imposées entre l’homme et son Créateur, rendre Dieu à l’homme et l’homme à Dieu ; rétablir l’idée rationnelle et sacrée de la divinité au milieu du chaos des dieux matériels et défigurés de l’idolâtrie, qui existaient alors. Jamais un homme n’a entrepris une œuvre dépassant à ce point la puissance humaine avec des moyens aussi faibles, car il (Muhammad(ﷺ)) n’avait, dans la conception comme dans l’exécution d’un si grand dessein, d’autre instrument que lui-même et d’autre aide qu’une poignée d’hommes vivant dans un coin du désert. Enfin, jamais un homme n’a accompli une révolution aussi vaste et aussi durable dans le monde car, moins de deux siècles après son apparition, l’Islam, par la foi et par les armes, a régné sur toute l’Arabie et a conquis, au nom de Dieu, la Perse Khorasan, la Transoxanie, l’Inde occidentale, la Syrie, l’Égypte, l’Abyssinie, tout le continent connu de l’Afrique du Nord, de nombreuses îles de la Méditerranée, l’Espagne, et une partie de la Gaule.
« Si la grandeur de l’objectif, la petitesse des moyens et les résultats étonnants sont les trois critères du génie humain, qui oserait comparer un grand homme de l’histoire à Muhammad(ﷺ) ? Les hommes les plus célèbres n’ont créé que des armes, des lois et des empires. Ils n’ont trouvé, le cas échéant, que des pouvoirs matériels, qui se sont souvent effondrés sous leurs yeux. Cet homme a déplacé non seulement des armées, des législations, des empires, des peuples et des dynasties, mais aussi des millions d’hommes dans un tiers du monde habité à l’époque ; et plus encore, il a déplacé les autels, les dieux, les religions, les idées, les croyances et les âmes.
« Sur la base d’un Livre dont chaque lettre est devenue une loi, il a créé une nationalité spirituelle qui réunit des peuples de toutes langues et de toutes races. Il a laissé la caractéristique indélébile de cette nationalité musulmane, la haine des faux dieux et la passion pour le Dieu unique et immatériel. Ce patriotisme vengeur contre la profanation du Ciel a formé la vertu des disciples de Muhammad(ﷺ) ; la conquête du tiers de la terre au dogme a été son miracle, ou plutôt, ce n’était pas le miracle de l’homme, mais celui de la raison.
« L’idée de l’unité de Dieu, proclamée au milieu de l’épuisement des théogonies fabuleuses, était en elle-même un tel miracle que, dès qu’elle sortait de ses lèvres, elle détruisait tous les anciens temples d’idoles et incendiait un tiers du monde. Sa vie, ses méditations, ses révélations héroïques contre les superstitions de son pays, son audace à défier les furies de l’idolâtrie, sa fermeté à les supporter pendant quinze ans à La Mecque, son acceptation du rôle de mépris public et presque de victime de ses compatriotes… Ce dogme était double : l’unité de Dieu et l’immatérialité de Dieu : le premier disant ce que Dieu est, le second disant ce que Dieu n’est pas ; l’un renversant les faux dieux par l’épée, l’autre lançant une idée par des mots.
« Philosophe, orateur, apôtre, législateur, conquérant des idées, restaurateur des croyances rationnelles…. Le fondateur de vingt empires terrestres et d’un empire spirituel, c’est Muhammad. Au regard de tous les critères de mesure de la grandeur humaine, on peut se demander s’il y a un homme plus grand que lui ». Lamartine, Histoire de la Turquie, Paris, 1854. Tome 1 et Livre 1, p. 280.
Martin Lings : Muhammad est une autre raison d’accepter l’islam
(Martin Lings (Abû Bakr Sirâj ad-Dîn) (24 janvier 1909-12 mai 2005) fut un érudit anglais musulman, spécialiste du soufisme) :
« Une autre raison d’accepter le Message [de l’islam] était le Messager lui-même, un homme qui était, ils en étaient certains, trop plein de vérité pour tromper et trop plein de sagesse pour se tromper lui-même ». Martin Lings, Muhammad : sa vie basée sur les premières sources
Napoléon Bonaparte – Le Coran seul peut conduire les hommes au bonheur
« J’espère que le temps n’est pas loin où je pourrai réunir tous les hommes sages et instruits de tous les pays et établir un régime uniforme basé sur les principes du Coran qui seuls sont vrais et qui seuls peuvent conduire les hommes au bonheur. » Napoléon Bonaparte – Cité dans Christian Cherfils BONAPARTE ET ISLAM (PARIS 1914)
Ghandi : ce n’est pas l’épée qui a créé une place pour l’Islam dans le cœur de ceux qui cherchaient une direction à leur vie.
« Je suis devenu plus que jamais convaincu que ce n’est pas l’épée qui a permis à l’islam d’occuper une place dans le schéma de la vie à cette époque. C’était la simplicité rigide, l’effacement total du prophète, le respect scrupuleux de ses engagements, son dévouement intense à ses amis et disciples, son intrépidité, son intrépidité, sa confiance absolue en Dieu et en sa propre mission. Ce sont eux, et non l’épée, qui ont tout porté devant eux et surmonté toutes les difficultés. »
Gandhi (trad. Wikiquote), 11 septembre 1924, dans Young India, paru Collected Works of Mahatma Gandhi, vol.29, » My Jail experiences « , p.133, Gandhi.
Edward Gibbon : la même impression pure et parfaite qu’il a gravée à La Mecque et à Médine est préservée
Le grand historien occidental Edward Gibbon observe :
« Le bon sens de Muhammad(ﷺ) méprisait le faste de la royauté ; l’Apôtre de Dieu se soumettait aux tâches subalternes de la famille ; il allumait le feu, balayait le sol, trayait les vaches et réparait de ses propres mains ses chaussures et ses vêtements de laine. Dédaignant la pénitence et le mérite d’un ermite, il observait sans effort et sans vanité le régime abstrait d’un Arabe et d’un soldat. Dans les occasions solennelles, il fêtait ses compagnons avec une abondance hospitalière ; mais dans sa vie domestique, de nombreuses semaines s’écoulaient sans qu’un feu ne soit allumé dans l’âtre du Prophète ». Voir les cent musulmans
Il a également dit :
« Ce n’est pas la propagation mais la permanence de sa religion qui mérite notre étonnement, la même impression pure et parfaite qu’il a gravée à la Mecque et à Médine est conservée, après les révolutions de douze siècles, par les prosélytes indiens, africains et turcs du Coran… Les Mahométans ont uniformément résisté à la tentation de réduire l’objet de leur foi et de leur dévotion au niveau des sens et de l’imagination de l’homme. Je crois en un Dieu unique et en Muhammad, l’apôtre de Dieu », telle est la profession simple et invariable de l’islam. L’image intellectuelle de la divinité n’a jamais été dégradée par une idole visible ; les honneurs du prophète n’ont jamais transgressé la mesure de la vertu humaine, et ses préceptes vivants ont contenu la gratitude de ses disciples dans les limites de la raison et de la religion ». Edward Gibbon et Simon Ocklay – History of the Saracen Empire, Londres, 1870, p. 54 :
Rev. Bosworth Smith : si un homme a jamais eu le droit de dire qu’il gouvernait par la droite divine, c’est bien Muhammad(ﷺ).
« Il était César et Pape à la fois ; mais il était Pape sans les prétentions du Pape, César sans les légions de César : sans armée permanente, sans garde du corps, sans palais, sans revenu fixe ; si jamais un homme a eu le droit de dire qu’il gouvernait par le droit divin, c’était Muhammad, car il avait tout le pouvoir sans ses instruments et sans ses soutiens. » Révérend Bosworth Smith, Mohammed and Mohammadanism, Londres 1874, p. 92 :
Montgomery Watt : Supposer que Muhammad est un imposteur soulève plus de problèmes que cela n’en résout :
« Son empressement à subir des persécutions pour ses croyances, la haute moralité des hommes qui croyaient en lui et le considéraient comme un chef, et la grandeur de son accomplissement final – tout cela plaide en faveur de son intégrité fondamentale. Supposer que Muhammad est un imposteur soulève plus de problèmes qu’il n’en résout. En outre, aucune des grandes figures de l’histoire n’est aussi mal appréciée en Occident que Muhammad ».
Montgomery Watt, Mohammad at Mecca, Oxford 1953, p. 52.
James A.Michener: En toutes choses, Muhammad(ﷺ) était profondément pratique
« Muhammad, l’homme inspiré qui a fondé l’islam, est né vers l’an 570 dans une tribu arabe qui adorait les idoles. Orphelin de naissance, il a toujours été particulièrement attentif aux pauvres et aux nécessiteux, à la veuve et à l’orphelin, à l’esclave et à l’opprimé. À vingt ans, il était déjà un homme d’affaires prospère et devint bientôt directeur des caravanes de chameaux d’une riche veuve. Lorsqu’il atteint vingt-cinq ans, son employeur, reconnaissant ses mérites, le demande en mariage. Bien qu’elle ait quinze ans de plus que lui, il l’épousa et, tant qu’elle vécut, resta un mari dévoué.
« Comme presque tous les grands prophètes qui l’ont précédé, Muhammad a hésité à transmettre la parole de Dieu, sentant qu’il n’était pas à la hauteur. Mais l’ange lui ordonna de « lire ». Pour autant que nous le sachions, Muhammad ne savait ni lire ni écrire, mais il commença à dicter ces mots inspirés qui allaient bientôt révolutionner une grande partie de la planète : « Il n’y a qu’un seul Dieu ».
« En toutes choses, Muhammad(ﷺ) était profondément pratique. À la mort de son fils bien-aimé Ibrahim, une éclipse se produisit et des rumeurs de condoléances divines se répandirent rapidement. Muhammad aurait alors déclaré qu’une éclipse est un phénomène naturel. Il est insensé d’attribuer de telles choses à la mort ou à la naissance d’un être humain.’
À la mort de Muhammad(ﷺ), on tenta de le déifier, mais celui qui allait devenir son successeur administratif mit fin à l’hystérie en prononçant l’un des discours les plus nobles de l’histoire religieuse : « S’il y en a parmi vous qui ont adoré Muhammad(ﷺ), il est mort. Mais si c’est Dieu que vous avez adoré, il vit éternellement ».
James A. Michener, « Islam : The Misunderstood Religion » dans Reader’s Digest (édition américaine), mai 1955, pp. 68-70 .
Michael H. Hart : le seul homme de l’histoire à avoir connu un succès retentissant à la fois sur le plan religieux et sur le plan séculier.
« Mon choix de Muhammad(ﷺ) en tête de la liste des personnes les plus influentes du monde peut surprendre certains lecteurs et peut être remis en question par d’autres, mais c’est le seul homme dans l’histoire qui a connu une réussite suprême à la fois sur le plan religieux et séculier. » Michael H. Hart The 100 : A Ranking of the Most Influential Persons in History, New York : Hart Publishing Company, Inc. 1978, p. 33 :
Sarojini Naidu, la célèbre poétesse indienne, dit – S. Naidu, Ideals of Islam, Speeches and Writings, Madaras, 1918
C’est la première religion qui a prêché et pratiqué la démocratie ; car, dans la mosquée, lorsque l’appel à la prière retentit et que les fidèles sont rassemblés, la démocratie de l’islam est incarnée cinq fois par jour, lorsque le paysan et le roi s’agenouillent côte à côte et proclament : « Dieu seul est grand » […]. «
Stanley Lane-Poole – Propos de table du Prophète
« Il était le protecteur le plus fidèle de ceux qu’il protégeait, le plus doux et le plus agréable dans la conversation. Ceux qui le voyaient étaient soudain remplis de révérence ; ceux qui l’approchaient l’aimaient ; ceux qui le décrivaient disaient : « Je n’ai jamais vu son pareil, ni avant ni après. » Il était très taciturne, mais lorsqu’il parlait, c’était avec emphase et délibération, et personne ne pouvait oublier ce qu’il disait… »
Thomas Carlyle : Le mensonge façonné avec de bonnes intentions destinées à cet homme (Muhammad(ﷺ)) ne déshonore que nous.
« Les mensonges (calomnies occidentales) que le zèle bien intentionné a accumulés autour de cet homme (Muhammed) ne déshonorent que nous-mêmes… Comment un homme a-t-il pu, à lui seul, souder des tribus guerrières et des Bédouins errants en une nation des plus puissantes et des plus civilisées en moins de deux décennies ? ….Une grande âme silencieuse, de celles qui ne peuvent qu’être sérieuses. Il devait enflammer le monde ; le Créateur du monde l’avait ordonné. Alors que d’autres se complaisent dans les formules et les ouï-dire, satisfaits de leur sort, cet homme ne pouvait échapper aux formules. Il était seul face à sa conscience et à la réalité des choses… Une telle sincérité, comme nous aimons l’appeler, a en fait quelque chose de divin. La parole d’un tel homme est comme la voix qui émane du cœur même de la nature. Les hommes écoutent et doivent écouter ce discours mieux que tout autre… Le reste n’est que futilité en comparaison. » Thomas Carlyle dans » heros and Hero-Worship « , p.71
George Bernard Shaw : il mérite le titre de sauveur de l’humanité
Le célèbre écrivain britannique George Bernard Shaw, dans sa lettre à M. Najmi Saqib de Chypre, reconnaît que les enseignements du prophète Muhammad (PBUH) sur le statut des femmes, l’exposition des enfants de sexe féminin et la bonté envers les animaux étaient « très en avance sur la pensée clustienne occidentale, voire sur la pensée moderne » (voir Cent Grands Musulmans ).
« Je crois que si un homme comme lui devait assumer la dictature du monde moderne, il parviendrait à résoudre ses problèmes d’une manière qui apporterait la paix et le bonheur dont nous avons tant besoin.
Je l’ai étudié – l’homme – et, à mon avis, il est loin d’être un antéchrist. Il doit être appelé le Sauveur de l’humanité.
J’ai prophétisé sur la foi de Muhammad(ﷺ) qu’elle serait acceptable pour l’Europe de demain comme elle commence à l’être pour l’Europe d’aujourd’hui. » George Bernard Shaw – The Genuine Islam Vol.No.8, 1936.
Annie Besant : l’une des grandes messagères de l’Être suprême
« Il est impossible, pour quelqu’un qui étudie la vie et le caractère du grand Prophète d’Arabie, pour quelqu’un qui sait comment il a enseigné et comment il a vécu, d’avoir un autre sentiment que le respect pour ce Prophète prodigieux, l’un des grands Messagers de l’Être Suprême. Et même si ses discours contiennent beaucoup de choses qui sont familières à beaucoup d’entre vous, chaque fois que je les relis moi-même, je sens monter en moi une nouvelle vague d’admiration, un nouveau sentiment de révérence pour ce prodigieux grand maître arabe. » Annie Besant, The Life and Teachings of Muhammad (La vie et les enseignements de Muhammad), Madras 1932, p. 4.
Constant Virgil Gheorghiu:Je félicite les musulmans pour le fait que leur religion s’est intéressée à l’acquisition du savoir dès le début.
« Bien qu’il fût analphabète, les premiers versets révélés mettent l’accent sur la plume, la science, l’éducation et l’enseignement. Nous ne connaissons aucune autre doctrine qui se soit autant intéressée à la science et au savoir. Si Mohammad avait été un érudit, la révélation faite dans la grotte de Hirra n’aurait pas suscité l’étonnement, car l’érudit connaît la valeur de la science. Mais il était analphabète et n’avait appris d’aucun maître. Je félicite les musulmans du fait que leur religion s’est intéressée dès le début à l’acquisition du savoir et qu’elle y attache une grande importance ». Constant Virgil Gheorghiu : La vie de Mohammad « , T2,p.45
Professeur K.S.Ramakhishna Rao : le plus rare phénomène sur terre
» Le monde a vu en la personne du prophète de l’Islam, le plus rare phénomène sur terre, évoluant en chair et en os. «
Professeur K.S.Ramakhishna Rao, in le prophète de l’Islam « , cité par Ahmed DEEDAT dans son ouvrage : Mohammed(ç) le plus grand.
Diwan Chand Sharma:Mohammed (Paix sur lui) était l’âme de la Bienveillance
» Mohammed (Paix sur lui) était l’âme de la Bienveillance et son influence était ressentie et jamais oubliée par ceux qui l’approchaient . «
Diwan Chand Sharma dans » The Prophets of the East « , Calcutta, 1935,p.122
John William Draper :l’homme qui, parmi tous les hommes, allait exercer la plus grande influence sur la race humaine
« Quatre ans après la mort de Justin, en l’an 569, naquit à La Mecque, en Arabie, l’homme qui, parmi tous les hommes, allait exercer la plus grande influence sur la race humaine… Muhammad(ﷺ) (que la paix soit sur lui). » John William Draper, M.D.LLD dans « A History Of the Intellectual Development of Europ », Londres, 1875.
Encyclopédia Brittanica, le plus grand succès de toutes les figures religieuses.
« Muhammad(ﷺ) a été la personnalité la plus réussie de toutes les figures religieuses ». Encyclopédia brittanica, 11e édition.
Washington Irving : Pas de fierté dans les triomphes militaires
» Ses triomphes militaires n’éveillèrent ni orgueil ni vaine gloire, comme ils l’auraient fait s’ils avaient été influencés par des objectifs égoïstes. Au temps de sa plus grande puissance, il conservait la même simplicité de manières et d’apparence qu’aux jours de son adversité. Loin d’affecter un véritable état, il était mécontent si, en entrant dans une pièce, on lui témoignait un respect inhabituel. S’il visait à la domination universelle, c’était celle de la foi ; quant à la règle temporelle qui s’était développée entre ses mains, de même qu’il l’utilisait sans ostentation, il ne prenait aucune mesure pour la perpétuer dans sa famille ».(Muhammad et ses successeurs Irving Washington, 1969, p. 199)
Gustave Le Bon : Muhammad(ﷺ) était l’un des plus grands hommes de l’histoire
« Si l’on doit juger de la valeur des hommes par la grandeur des œuvres qu’ils ont fondées, on peut dire que Muhammad fut l’un des plus grands hommes que l’histoire ait jamais connus. Les préjugés religieux ont empêché beaucoup d’historiens de reconnaître l’importance de son œuvre ; mais les écrivains chrétiens eux-mêmes commencent maintenant à lui rendre justice. » La Civilisation des Arabes (1884), Gustave Le Bon, éd. La Fontaine au Roy, 1990, Livre deuxième, chapitre premier, Muhammad, p. 76
Robert Briffault Le Coran est la source des idées de liberté et de fraternité humaine.
Le célèbre écrivain anglais Robert Briffault rend un hommage appuyé aux enseignements du Saint Prophète de l’Islam, lorsqu’il dit :
« Les idées de liberté pour tous les êtres humains, de fraternité humaine, d’égalité de tous les hommes devant la loi, de gouvernement démocratique par consultation et suffrage universel, les idées qui ont inspiré la Révolution française et la Déclaration des droits, qui ont guidé l’élaboration de la Constitution américaine et enflammé la lutte pour l’indépendance dans les pays d’Amérique latine ne sont pas des inventions de l’Occident. Ils sont la quintessence de ce que l’intelligentsia de l’Europe médiévale a acquis de l’Islam au cours des siècles, à travers les diverses sociétés qui se sont développées en Europe dans le sillage des croisades, à l’imitation des associations de fraternité de l’Islam. Il est hautement probable que, sans les Arabes, la civilisation européenne moderne n’aurait jamais vu le jour et il est absolument certain que, sans eux, elle n’aurait jamais pris ce caractère qui lui a permis de transcender toutes les phases antérieures de l’évolution » voir : Cent Grands Musulmans p:9
John Davenport : Il est inconcevable que Muhammad soit un imposteur
Est-il possible de concevoir, pouvons-nous demander, que l’homme qui a effectué des réformes si importantes et si durables dans son propre pays en substituant le culte du seul vrai Dieu à l’idolâtrie grossière et avilissante dans laquelle ses compatriotes étaient plongés depuis des lustres ? qui abolit l’infanticide, interdit l’usage des liqueurs spiritueuses et des jeux de hasard (ces sources de dépravation morale), qui restreignit dans des limites relativement étroites la polygamie effrénée dont il découvrit l’existence et la pratique – pouvons-nous, nous le répétons, concevoir qu’un réformateur aussi grand et aussi zélé ait été un simple imposteur, ou que toute sa carrière n’ait été qu’une pure hypocrisie ? Pouvons-nous imaginer que sa mission divine n’était qu’une invention de sa part, dont il était conscient de la fausseté tout au long de sa vie ? Non, certainement, rien d’autre que la conscience d’intentions vraiment justes n’aurait pu porter Muhammad avec autant de constance et de régularité, sans jamais flancher ni vaciller, sans jamais se trahir auprès de ses relations et compagnons les plus intimes, depuis sa première révélation à Khadijah jusqu’à sa dernière agonie dans les bras d’Ayesha. John Davenport, Une apologie de Muhammad et du Coran. Londres, 1869. Pages 138-139
Laura Veccia Vaglieri : Le prophète a enseigné la bonne pensée, la bonne action et la bonne parole
C’est pourtant ce qui s’est produit. Sur ordre divin, une voix solitaire s’éleva à La Mecque, appelant les hommes à l’adoration d’un Dieu unique et proclamant qu’en répondant à cet appel, l’humanité atteindrait la dignité, l’honneur, la prospérité et le bonheur véritables, ici et dans l’au-delà* Cette voix était celle de Muhammad, le prophète de l’islam. Laura Veccia Vaglieri, Une interprétation de l’islam (1957)
Karen Armstrong: Mohammed un prophète pour notre temps
« Il était déterminé et entier dans tout ce qu’il faisait, si concentré sur la tâche à accomplir qu’il ne regardait jamais par-dessus son épaule, même si son manteau se prenait dans un buisson épineux. Lorsqu’il se tournait pour parler à quelqu’un, il avait l’habitude de balancer tout son corps et de l’habiller de face. Lorsqu’il serrait la main de quelqu’un, il n’était jamais le premier à retirer la sienne. Il inspirait une telle confiance qu’on l’appelait al-Amin, le fiable ».
Karen Armstrong, Muhammad : Un prophète pour notre temps
Léon Tolstoï
Muhammad(ﷺ) s’est toujours tenu plus haut que le christianisme. Il ne considère pas Dieu comme un être humain et ne se fait jamais l’égal de Dieu. Les musulmans n’adorent rien d’autre que Dieu et Muhammad est son messager. Il n’y a ni mystère ni secret dans cette religion. Léon Tolstoï
